Formations :
- Master 2 de Psychologie clinique du développement, des apprentissages et du vieillissement à l’Université de Dijon.
- Formation complémentaire au diagnostic psychologique, par le Pr Guelfi.
Expériences professionnelles :
- 2024 : Déménagement dans le Gard, réinstallation de mon activité libérale à proximité d’Alès.
- De 2020 à 2023 – Psychologue en cabinet de neuropsychologie (Aubagne).
- De 2018 à 2023 – Enseignante spécialisée, à domicile et en association, pour les élèves avec troubles neurologiques, troubles des apprentissages, et en situation de décrochage scolaire.
- De 2017 à 2018 – Psychologue « Education, Développement et Apprentissage » (écoles maternelles et élémentaires) à l’Education Nationale (Marseille).
- De 2015 à 2017 : Formation en tant que psychologue stagiaire en CAMSP (Centre d’Action Médico-Sociale Précoce), à l’Education Nationale et à l’Aide Sociale à l’Enfance.
Spécialisations pratiques :
Lors de mon Master 2, j’ai effectué une recherche sur le Haut Potentiel Intellectuel chez les enfants. Le but était d’observer les différences entre le genre et le type de haut potentiel sur l’estime de soi et le sentiment d’efficacité personnelle. Cette question continue de me passionner, notamment aujourd’hui ou le HPI est en plein essor et où de nombreuses personnes semblent s’y retrouver. Je commence à me pencher sur l’impact d’une confirmation ou non d’un profil type HPI sur le bien-être. En effet, ces personnes sont généralement en souffrance, et l’idée d’un HPI apporte une explication à un certain nombre de difficultés. Mais quel est le réel impact de cette auto-qualification de HPI ? Faut-il se confronter à la validation psychométrique de cette hypothèse ? Quel impact cela a-t-il sur notre bien être en fonction de la confirmation ou non de ce haut potentiel ? J’espère pouvoir mettre au point une recherche à ce sujet dans les mois avenir.
Ainsi, sur le plan théorique, je me forme avec rigueur à deux grandes domaines : le diagnostic psychologique et la thérapie des schémas. En effet, ces deux grands domaines me permettent d’acquérir davantage de théorie et de pouvoir formuler des hypothèses sur les personnalités et/ou mode de fonctionnement cognitifs qui impactent la nécessité d’un « diagnostic ». De plus, il serait intéressant de voir si un lien existe entre les hypothèses erronées de HPI et le mode de fonctionnement cognitif ou le type de personnalité.
Pour toutes questions, vous pouvez me contacter :
- par mail à l’adresse cboyer.psychologue@gmail.com
- par téléphone au 06.31.60.90.96.
Prise de rendez-vous possible via Doctolib.